soirée orageuse [suite]

Mathilde peinait. Le moindre mouvement la faisait grimacer de douleur, le poid d'Allen pesant sur ses épaules. Elle était concentrée, faisant attention au moindre de ses mouvements, et remarqua à peine qu'Allen retombait dans une crise d'amnésie. Seule sa dernière question la marqua, au point qu'elle crut elle aussi avoir reçu une décharge. Elle eut une remontée de ses aliments dans son oeusophage et s'écarta légèrement de son ami. Mieux valait qu'il n'y ait pas d'autre accident. Mais rien ne vint. Elle se contenta de jeter un regard soucieux à Allen

Puis ils pénétrèrent enfin dans l'infirmerie. Elle l'aida à s'allonger sur un lit puis sortit de la poche arrière de son jean une petite pochette en vieux cuir qu'elle ouvrit avec précautions. Dedans, une dizaine de petits outils d'argent pur luisaient. Elle en prit un et glissa la pochette dans sa poche. Soigneusement, elle débanda le front d'Allen qui marmonnait inconsciement. Le tissu était maculé de sang, il était clair qu' Allen avait perdu beaucoup de sang. Alors, doucement, elle commença à nettoyer la blessure avec du desinfectant qui se trouvait sur une table, à coté. Et lentement, elle se mit à recoudre la blessure. Quand son travail fut terminé, elle chercha dans une armoire de quoi panser la blessure.

Enfin, elle s'assit sur un tabouret, près du lit où Allen semblait dormir. Une heure, puis deux passèrent. Mathilde gardait l'oeil ouvert, culpabilisant de plus en plus, au fil des heures. C'était la première fois qu'elle faisait ce genre d'opération sur un humain. Puis soudain, il parut se réveiller. Mais Mathilde, trop fatiguée pour manifester une joie quelquonque, se contenta de dire:

Mes parents sont morts, juste après mon arrivée à Tara.

Apres avoir divagué pendant quelques minute je sombrai dans un brouillard, mas vision devin floue. Quelques heure plus tard, je me réveilla. Entandant : Mes parents sont morts, juste après mon arrivée à Tara.


Oo tu la !!oO

Quoi, qu’avez-vous dit ?

Mathilde avait l’aire bien malheureuse.

Glups !, alors n’aurai je pas bien remplis ma mission, les ramener sur tara en vie et en bonne états !! Tous devint trouble une vague de pensée néfaste m’envahi. Tous devant flou, un brouillard envahis la sale. Tous était noir, il y avait une jeune fille, qui pleurait sur une tombe, on pouvait lire sur a tombe, ici gi Mrs et Mm spencer.

Oo La seul, c’est la seule a s’en être sorti. tu la !
Encore mais pourquoi fau-t-il le faire, pourquoi ?
Faut il que je te rafraichisse la mémoire, fau-t-il te rappeler tes faiblesse.
Tu n’as pas sus les protéger, tu dois la libérer !! Tu la,
Non je ne veux pas !
Sais-tu au moins qui est cette fille ? Non ? Tu n’en a pas la moindre idée. oO

Soudain, un éclaire jaillis du ciel pour aller frapper non loin de la ou je me trouvais. Le tonnerre grondait. Un horrible mal de crane m’envahis, je hurlais, à m’en rompre les vaine je hurlais. Je me tenais la tête. Des éclaires venaient me frapper, ne faisant qu’emplifier la douleur,

Tu es faible, tu n’a pas sus les protéger, tu n’es pas digne de ton ordre, nous te bannissons et appliquons la sentence aux faible, tu seras condamner à n’être qu’un simple élus. Tu n’es plus l’escorteur, tu n’es qu’un lâche, un faible.


Pendant que je divaguais, le tonnerre gronda, des éclaire élatères, l’aire était chargé de pouvoir, et un sigle ce dessinait dans les nuages, mieux valait ne pas rester dehors, le choque énergétique de l’électricité avait neutralisé l’enchantement qu’avait mis les escorteurs dans la mémoire d’Allen.

Mathilde se retourna vivement. L'éclair qui venait de tomber derrière elle ne la rassurait pas tellement. De plus, Allen lui paraissait de plus en plus...étrange. Elle évita de répété ce qu'elle avait dit, Allen avait probablement bien compris.

Mais un orage commençait à éclater autour d'elle. Dans la salle! Elle attrapa Allen qui avait l'air encore un peu abasourdi et le tira dehors.

Allez viens!

Elle courut au bout du couloir, tirant Allen. Et bizarrement, c'était comme si elle ne sentait plus le poid. Elle devait aidée par la crainte qui l'envahissait. Quelque chose lui soufflait que tout ça avait aussi un rapport avec elle. Elle arriva devant les marches, à bout de souffle.

Désolée. Va te coucher maintenant, t'as besoin de repos.

Egoïstement, elle aurait voulu qu'Allen refuse et insiste pour lui expliquer ce qu'il se passait. Mais il avait besoin de repos, et elle ne pouvait pas faire comme s'il n'y avait qu'elle. Même si elle était tentée de le retenir pour lui poser quelques questions.